SIEGFRIED

BARCELONA CHICAGO LONDON

 

Los Angeles Opera - octobre 2009
'John Treleaven montre de manière impressionante qu'il est à la hauteur de la partie fatigante. Sa voix est claire, sûre et bien soutenue. Même dans l'exigeant duo final il présente aucune signe de fatigue.'

Opernglas, novembre 2009

 

 

Royal Opera House Covent Garden
Octobre 2005

 

Treleaven est génial. Son chant est particulièrement protéiforme et son endurance est remarquable. S’il y a quelque chose que la pluspart des Siegfrieds ne sait pas transmettre, c’ est une sensation de facilité. Treleaven le sait. Il chante avec sa propre voix, souvent d’une beauté absolue, il sait comment produire des tons héroriques, comme il le fait dans la scène de la forge. Son cri triomphant ’Nothung !’ quand l’epée finie est levée de la forge et soulevée, était vraiment sans pareil.
The Independent
Puis le merveilleux Siegfried, joué astucieusement par John Treleaven, entre en scène. Même à la fin son ténor héroique, qui produit beaucoup de phrases bien faites et doucement chantées, est encore puissant et authentique. L’ inexperience et la chaleur du cœur commuent l’énergie déspérée et le débordement de son Siegfried. L’ innocence se transforme en rédemption. Une interprétation grandiose!
The Stage
Siegfried – l’ énergique John Treleaven avec sa voix brilliante, fougeux et irrépressible
The Times
John Treleaven –sa voix est un vrai ténor héroique. Combien existent-il de Siegfrieds, qui sonnent à la fin du soirée comme ils savaient chanter tout l’ opéra encore une fois ?
The Financial Times
Le ténor anglais John Treleaven dans l’héro puissant est un acteur courageux, qui prend des risques, mais qui possède quand-même assez de réserves pour chanter un duo d’ amour plein de passion rare.
The Evening Standard
Siegfried est probablement le rôle de ténor plus fatigant du répertoire wagnérien, notamment parce qu’il est presque tout le temps sur scène. Alors il n’aurait eu rien de surprenant si John treleaven s’ avait relâché à la fin. Au lieu de cela, son interprétation dans le troisième acte était grandiose et à la fin il développe la vraie force d’un ‘Heldentenor’.
Musicomh.com
John Treleaven fait sonner son ténor superbe et robuste comme un vrai Siegfried.
Metro London
Dans la scène de la forge tout s’assemble car John Treleaven ( qui fait son début comme une espèce rare : un Siegfried britannique) avait économisé ses forces pour ce passage difficile. De facon affairée, il bouge à travers le procès le plus actif de fabrication d’ une épée que j’ai vu depuis longtemps. Dans le troisième acte… son chant grandiose quand il tourne son dos à l’auditoire, et la force de son ‘Erwache’ final étaient des clous extraordinaires.
Musicweb-international.com
CHICAGO - MARS 2005
Treleaven donne un formidable élan et une énergie infinie à l' histoire de trahison, perfidie meurtrière et rédemtption . Avec sa stature imposante et belle, Treleaven correspond tout à fait au personnage charmant, que Wagner avait envisagé pour son jeune héro impétueux. Des beaux ténors, qui par dessus le marché sont capables de couvrir l' énorme orchestre avec la melodieuse partie soutenue de Siegfried, sont rares. Treleaven réussit très bien à remplir cette tâche presque impossible. Il est incontestablement un sympathique Siegfried humain.
Chicago Sun Times
Treleaven était simplement étonnant. Il n'y a pas beaucoup de Wagnériens, qui savent schanter ce rôle difficile et y réussissent sans peine. Il joue l' héro crédule avec tant de vivacité pétillante. ... il chante superbement et à la fin d' une longue soirée il sonne encore autant frais comme au début.
Chicago Tribune
Le Siegfried du ténor anglias John Treleaven était admirable, avec une force vocale, physicalité et la juste mesure de naivité.
Associated Press
L' aimable Siegfried de John Treleaven... l'imposant ténor anglais est un beau Siegfried robuste, plein de curiosité intelligente et de dynamisme juvenile. Miraculeusement, il possède assez de force vocale pour le céleste finale avec Brünnhilde. Il est un grand ténor héroique, toujours brillant.
Chicago Sun Times
Treleaven est la révélation de la reprise de la production d'August Everding de 1996 et le ténor anglais preuve que son succès n'est pas un hazard. Siegfried se transforme d' un écoissais muet en omniscient héro passionant. Cet évolution est illustré clairement par la force vocale et la persévérance de Treleaven. La légèreté naturelle avec laquelle il bouge sa figure imposante sur scène persuade également. Sa voix solide et son ricanement juvenile nous racontent beaucoup de cet héro impulsive, qui tue le dragon, se chope de l'or et finalement gagne la fille sommeillante.
Chicago Tribune
John Treleaven était un grandiose Siegfried avec du matériel héroique et une hauteur incroyable. Une fois de plus il nous surprend pas seulement avec ses Cs majeurs dans 'Götterdämmerung'. Il incarne purement et simplement le type d' acteur-chanteur et il montre un développement énormément sensible de garcon curieux en héro sachant. L' intensité et l'humanité de ses explications avec David Cangelosi était un des clous de ce 'Ring' et montrait quel potentiel se trouve dans le premier acte - souvent sousestimé - de Siegfried.

Der Neue Merker

 

Siegfried – Wiener Staatsoper

 

Pure joie! Un début-Siegfried longuement attendu par les fans de Wagner à Vienne a complètement satisfait tous les amateurs d’opéra, qui veulent entendre plus que seulement une voix : John Treleaven à preuvé d’ être un artiste de haut calibre. Non seulement chante-il ce rôle gigantesque de Siegfried plus souverainement d’ un acte à l’ autre, non seulement est-il un chanteur musical et un acteur impressionant, non seulement est-il parfait pour ce rôle à cause de sa stature physique et sa figure, mais il possède aussi une naivité rafraîschissante et un charme juvénile,ainsi que des sentiments profonds, une vision d’un monde noble et une force pathétique, que font de Siegfried cette créature magnifique, à qui Wagner à dédié son cinquième opéra. ( Un simple vaurien ou un batailleur certainement n’auraient jamais interessé Wagner – aucun de ses personnages est si uni-dimensionel.) Treleaven, qui possède une voix parfaitement controllée et indéfiniment flexible, ne produit jamais une note qui n’est pas belle ; sa voix moyenne et son piano sonnent aussi bien que ses hauteurs retentissantes. Mais ce qui est encore plus réjouissant est que sa voix, son visage et son corps sont un seule intermédiaire, utilisé pour laisser voire et entendre la riche vie interieure de ce ‘garcon’ . Souvent, la couleur vocale et son expression du visage changent plusieures fois en quelques secondes. Pendant sa rélévation ‘So starb meine Mutter an mir’ le temps s’ arrête pour nous et pour lui. Visuellement la ‘Waldweben’ scène est un psychotrip à travers l’âme d’un orphelin, et quand Siegfried entend la voix de l’ oiseau des bois le spectateur remarque une embellie de voix et regard , qui laisse déjà pressentir le ‘sonnige Höh’ dans le troisième acte.
Sur cette voyage il est accompagné, comme dans sa première entrée en scéne, par son insouciant et joyeux rire. C’ est pourquoi que je trouve que sa présentation du personnage est plus touchante que celle de tant de Siegfrieds avec leurs fastes et leurs hurlements.Quand Brünnhilde se réveille, elle n’éveille pas seulement les peurs de Siegfired, mais surtout un pressentiment curieux. Comme s’ils avaient répété depuis des semaines, Watson et Treleaven, qui n’avaient jamais été sur scéne ensemble, se sont trouvés. A la fin ils se trouvent sur l’écueil se donnant spontanémant la main et ils démontrent aux spectateurs le ravissement de leur amour – un finale digne de deux enfants de Dieux
Der Neue Merker
Ainsi avec John Treleaven l’opéra tient de nouveau un nouveau jeune Siegfried, qui persuade comme chanteur et comme acteur. Car Treleaven chante Wagner, il tient d’ endurance et avec sa voix mince et clairement timbrée il surmonte tous les obstacles vocaux.

Wiener Kurier

 

 

Siegfried – Ring Helsinki 2004

 

John Treleaven était le plus excellent chanteur/acteur dans Siegfried et Götterdämmerung. On a l’ impression que son ténor a gagné encore plus d’or dans les hautes notes. Ses réserves à la fin de Siegfried semblent presque inépuisables et il n’ existe aucun chanteur pour le moment, qui sait égaler son do majeur dans la scène au Rhine dans Götterdämmerung. Son interprétation de „Seliger Öde auf sonniger Höh’“ se caractérise par beaucoup de lyrisme et des magnifiques legatos. Par-dessus le marché il est un acteur charismatique, ce que fait de lui toujours un sympathique Siegfied et à cause de sa stature, un noble et credible héro.
Der Neue Merker
Le ‚Ring' de l' Opéra National de Finlande introduit quelques ténors étonnants. Surtout le rôle de Siegfried est décisif, parce que sans un Siegfried convaincant, on peut complètement oublier cet opéra. John Treleaven est sans doute un des ténors forts les plus brillants de nos jours.
Il chante le monologue fatigant à la fin du premier acte, sans se ménager et pourtant il réussi à sonner vif et intense au grand duo dŽamour final. Sa jeune voix claire nous souveint du ténor éminent des années 60, Wolfgang Windgassen.

Matti Lehtonen / Turun Sanomat 24.8.2004

 

 

BARCELONE - MAI/JUIN 2004

 

Un Siegfried solide et puissant
John Treleaven, chantait un Siegfried puissant, aux moments franchement impétueux , avec une voix bien tombée et un timbre agréable et dŽune grande qualité.
La Vanguardia, mai 2004
…John Treleaven fut un Siegfried exemplaire par ses notes aigues, sa résistance, … et surtout par le fait qu' il chante sa partie au lieu de l' hurler - comme on l' est habitué à Bayreuth ce dernier temps.
Avui, mai 2004
Le Siegfried de John Treleaven était pleinement convainquant par son ardeur généreuse et sa réprésentation de jeune garcon…
ABC mai 2004
Quand il n'y a pas un vrai ténor, il n' est pas possible de présenter l'opéra 'Siegried'. John Treleaven en est un… et il chante avec cran, il sait se réserver et il atteint la fin de la répresentation sans presque sŽecrouler d'épuisement…
El País, mai 2004
... et John Treleaven donne de vie à un Siegfried vierge et déraisonnable, dont la seule rédemption, suggérée par la musique, peut se trouver dans l' amour pour Brunnhilde.'

El Periódico de Catalunya, 18.5.04

 

 

CHICAGO - DÉCEMBRE 2003

 

…sa voix dispose dŽ un timbre doux, magnifique, avec des hautes notes sonnantes et une excellente diction allemande. Il a été un Sigried plus lyrique que la plupart , mais avec Davis atténuant le sound, il nŽétait jamais obligé de se forcer. Après cinq heures, Treleaven avait un son presque si frais et dispos comme au début, tenant sa voix ténorique avec celle de Jane Eaglen dans la scène finale de lŽopéra. La partie 'Nothung ! Nothung !', pendant laquelle le ténor a dû forger une épée en chantant des hautes A, était sensationelle. Je me réjouis dŽavance de lŽentendre dans le Ring entier en 2005.
Chicago Tribune
...une voix passionante, une combination rare dŽacier sonnant et de satin souple, que lŽauditoire de lŽOpéra Lyrique a cordialement applaudi dans la répresentation de 'Siegfried', troisième opéra du 'Cycle du Ring'…John Treleaven, qui est grand et robuste est très agile sur scène, il est un acteur engagé, capable de transmettre un élan inébranlable et la confiance en soi du jeure héro.

Chicago Sunday Times