LOHENGRIN
HAMBOURG - JUIN 2005 |
Mais ensuite ledit miracle... John Treleaven, grand, avec le dos droit refait surface - un spectacle merveilleux, qui complètement capture la magie musicale. Encore plus par le rayonnement du chanteur, de qui le visage 'dit' déjà tout. Et puis Treleaven chante le chant du cygne tellement sincère, lyrique et facilement tenu avec un piano sonore (aussi dans le 3ième acte!), comme si il n'a vait jamais chanté autre chose que 'Dalla sua Pace' ou 'Un 'aura amorosa'. |
Der Neue Merker |
HAMBOURG - NOVEMBRE 2003 |
John Treleaven, qui a déjà chanté le Lohengrin ici, incarnait le rôle-titre. Depuis ses réprésentations à Vienne en 2000 il est devenu plus mûr, il chante le Lohengrin avec une hauteur sûre, il attaque avec une force héroique dans ' la chambre des mariés', et chante piano dans le 'Conte du Graal' ; il a peu de concurrence pour le moment. Sa diction est excellente. Son entrée en scène dans le premier acte et sa sortie dans le troisième acte ont été très impressionantes. Avec sa personnalité et sa souverainité John Treleaven a réussi à arrêter pour un moment le cours impétueux des choses. Le moment,où il a quité tristement la scène, il a rendu vraisemblable la déception humaine du 'chevalier au cygne' par l' échouement de son rêve. |
Der Neue Merker
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AMSTERDAM - FÉVRIER 2002 |
John Treleaven est un vrai évènement. Ce ténor, qui joue si excellent, nous livre un 'Conte du Graal', comme on lŽentend à peine aujourd'hui : tellement tendre et avec un élan héroiquement et éclatant mais ferme, même dans les parties douces. John Treleaven nŽa pas de concurrence ici. |
Westdeutsche Allgemeine |
John Treleaven chante de merveille, il ne force jamais sa voix et exprime une grande dignité. |
Haarlems Dagblad |
Le ténor britannique John Treleaven, qui présente le 'Conte du Graal' chante superbe, avec un caractère noble et une voix claire et agréable. |
NRC Handelsblad |
John Treleaven a chanté magnifiquement 'In einem fernen Land' dans le troisième acte. |
Trouw
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VIENNE - FÉVRIER 2000 |
Parcival peut être fier de son fils, originaire de Cornwall. On a rarement entendu une version si sincère d' 'Elsa, ich liebe dich' et son 'Conte du Graal' a contenu tellement de souffrance et de douleur, quŽon reproche secrètement à Elsa quŽelle nŽa pas pu maîtriser sa curiosité. Mais qui aurait pu le faire ? Ce qui est vraiment admirable aux prestations de chant du ténor britannique, cŽest son intonation sûre, combinée avec un allemand impeccable. Sa voix est agréable et elle culmine dans des brilliantes notes pointées. La première partie du Conte du Graal' il l' a chanté dŽune manière visionnaire-circonspecte... la deuxième partie avec la force convainquante dŽun envoyé par Dieu. Une bonne mine et une attitude digne complètent positivement le tableau dŽesemble. |
Der Neue Merker
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